réussir le traitement du bois d’une fenêtre

La fenêtre en bois reste une alternative prisée malgré la forte présence d’autres matériaux moins putrescibles sur le marché des menuiseries. Le bois, c’est classique et c’est également versatile, il permet une quantité innombrable de styles. Son point faible c’est sa putrescibilité et sa tendance à l’usure face aux intempéries. Pour retarder ce processus, voyez dans cet article comment traiter correctement le bois d’une fenêtre.

Traitement à l’achat d’une fenêtre en bois

Le premier traitement du bois pour les fenêtres doit être fait par l’entreprise qui vend la menuiserie. Ce traitement sert comme une protection préventive contre différentes attaques perpétrées par l’ultraviolet du soleil, les variations de température et les variations d’humidité de l’air, sans oublier les insectes, particulièrement les termites. Ce traitement est connu par le sigle IFH qui tient pour Insecticide, Fongicide et Hydrofuge. Cela consiste donc en l’application de produits censés protéger respectivement le bois contre les insectes, les champignons et l’humidité. A moins que vous ayez acheté du bois brut pour le travailler vous-même, cette étape n’est donc plus de mise.

Préparations du bois d’une fenêtre

Le traitement commence toujours par une préparation du bois. Pour une fenêtre peinte ou vernie, la préparation consiste à enlever les couches de peinture et de vernie protectrice. Cela se fait en décapant les peintures et en ponçant les couches de verni. Pour un premier ponçage efficace, il est d’usage d’utiliser du papier verre à gros grains. Une fois le bois de la fenêtre bien mis à nu, un deuxième ponçage doit alors être fait avec un papier à poncer à grain plus fin pour qu’aucune trace de ponçage ne reste la surface du bois. Pour finir, il suffit d’utiliser une brosse pour dépoussiérer le bois.

Pour les fenêtres en bois brut, l’étape du décapage n’est plus nécessaire, il suffira dans ce cas de poncer le bois avec du papier à grains fins pour que la surface de celui-ci soit propre pour une meilleure adhérence et infiltration des produits. L’utilisation d’un produit dégraissant peut s’avérer utile pour certains bois à fort tanin comme le chêne ou le merisier pour écarter le risque de remontées tanniques.

Le traitement du bois de la fenêtre

Les traitements insecticide et fongicide sont incontournables si votre maison est située dans une région chaude ou humide ou encore dans une région infestée d’insectes xylophages. Ces types de traitement se font généralement par l’application d’une ou deux couches de produits prêts à l’emploi. Dans certains cas, il peut vous être demandé de faire des injections à l’intérieur du bois. Le manuel du produit en question reste votre meilleure référence quant à son utilisation. Les dernières couches de protection sont alors appliquées à la fin. Selon votre choix, il peut s’agir de couches de peinture, de lasure ou de verni. La réelle différence entre ces différentes méthodes est le côté esthétique : la peinture est décorative, la lasure et le verni mettent en valeur la qualité naturelle du bois.

fabriquer un volet en bois : les étapes à suivre

Parce qu’aujourd’hui il est devenu tendance de réaliser une auto-construction, la fabrication de tous les types de menuiseries est de prise en charge par son propriétaire lui-même. En effet, il est tout à fait possible pour un particulier de construire lui-même son volet en bois. Cela lui permet de faire une économie par rapport aux dépenses que requiert une telle fabrication. Et par la même occasion, cela permet d’avoir une structure à la fois originale et personnalisée. Comment réussir ce projet ? Voici nos conseils.

Rassembler le matériel nécessaire pour la fabrication

Avant de procéder à la construction de votre volet en bois, vous devez d’abord rassembler les outils nécessaires afin d’être bien préparé pour ce qui vous attend. Vous aurez donc besoin de lames de bois pour le volet, de pentures, de scie triangulaire et égoïne, de tasseaux de bois, d’une règle, d’un mètre ruban et d’une équerre. Après, vous devez aussi disposer d’un papier abrasif, d’une perceuse électrique, d’une fraiseuse électrique et de vis.

Ces équipements constituent à la fois les éléments qui constituent le volet et les outils indispensables pour sa construction.

Prendre les mesures pour déterminer les dimensions

Étant donné que le volet est constitué de plusieurs éléments, la première étape de la construction consiste à prendre les mesures nécessaires pour déterminer la taille de chaque partie. En l’occurrence, c’est le tableau qui définit la dimension de tous les autres équipements. Vous devez donc mesurer la hauteur du tableau du centre : de l’appui jusqu’au linteau. Par la suite, mesurez aussi la largeur à mi-hauteur d’un côté à l’autre du tableau. Puis, reportez les hauteurs et largeurs sur un petit croquis. Après, vous pouvez découper les lames en fonction de ces mesures prises. Si nécessaire, ajuster les dimensions après son assemblage.

Définir le nombre de lames

Pour connaitre le nombre de lames qui vont équiper votre volet, vous devez diviser la largeur du tableau par la largeur utile d’une lame. Et sachez que la largeur utile est celle du parement et non pas celle de la languette.

Si l’on considère les rainures et les languettes, il faut choisir des lames dont la largeur permet de s’approcher au plus près de la largeur en tableau.

Assemblage des lames

En premier lieu, vous devez disposer des tréteaux sur un sol plan. Ensuite, maintenez une première lame sur chant, languette sur le bas. Déposez un filet de colle dans sa rainure et posez la lame à plat. Répétez cette étape pour la seconde lame pour l’assembler avec la première et alignez les deux extrémités. Et cela se répète jusqu’à la dernière lame afin d’obtenir le battant du volet.

Maintenant, vous pouvez ajouter des sangles pour bien tenir l’ensemble de la structure. Après, il faut laisser le volet du temps pour qu’il sèche, retirer les sangles et retailler le volet pour ajuster sa dimension. Puis, vous pouvez commencer l’installation du volet et réaliser la finition qui vous convient et selon le style décoratif que vous souhaitez ajouter.

rénover ses fenêtres en bois

Vous constatez que vos fenêtres en bois manquent d’éclat et que celles-ci perdent sa jeunesse ? Il est temps de les rénover. D’ailleurs, exposer aux différentes intempéries, ces menuiseries, même entretenues de manière régulière, se détériorent avec le temps. Heureusement que rénover des fenêtres en bois est un véritable jeu d’enfant. Les différents travaux sont à la portée de toutes personnes. Néanmoins, cela ne se fait pas n’importe comment. Pour vous aider dans la rénovation de vos fenêtres en bois, découvrez dans ce présent article nos astuces pratiques.

Nettoyage de la menuiserie

Pour rénover vos fenêtres en bois, il est de préférence de travailler à l’extérieur. Commencez par son nettoyage. Pour cela, ôtez la fenêtre de son emplacement puis placez-la sur une surface plane comme une table ou de tréteaux. Enlevez la peinture cloquée avec une spatule. Il est recommandé de toujours suivre le sens du bois durant les travaux. Il est également recommandé d’enlever délicatement le vieux mastic avec votre couteau à démastiquer.

Nettoyage et traitement des parties métalliques

Les parties métalliques doivent être aussi nettoyées. Pour cela, commencer par les dévisser de la fenêtre. A l’aide d’une brosse métallique, brossez-les. Si ces parties métalliques sont sujettes à la rouille, traitez-les avec un produit antirouille. Laissez-les sécher. Vous pouvez réappliquer sur les différents éléments avec de la peinture antirouille.

Camouflage des petits défauts du bois

Une fois le bois bien nettoyé, il est temps de masquer ses défauts. Pour ce faire, optez pour un enduit de lissage spécial bois. Ce produit a pour fonction de cacher les imperfections comme les rayures ainsi que les petits éclats. Aussi, avec une spatule, appliquer une mince couche d’enduit sur la surface à bouche. Respectez le temps de séchage d’au moins 4 heures.

Remplissage d’une cavité ou fente dans le bois

L’espace manquant de la fenêtre peut être rempli soit avec une pièce de bois soit avec du mastic bicomposant. Pour l’insertion du bois, il reste important de toujours mesurer la profondeur de l’emplacement à combler. Cela vous permet d’identifier la grandeur du bois à mettre dans la cavité. Une fois le bois ou le mastoc bien placé dans la cavité, il est conseillé de bien poncer la surface.

Remplacement du morceau de chant encrassé

Quand il est impossible de réparer une partie abîmée, un remplacement de celle-ci s’impose. Pour cela, 2 méthodes peuvent survenir, soit de coller une pièce de bois sur la partie abimée soit de modeler avec du mastic composant. Dès que le bois est rénové, vous pouvez mettre la fenêtre à son emplacement.

Vérification de la fermeture de la fenêtre

Une fois que la menuiserie en question est en excellent état, vous pouvez contrôler la fermeture de celle-ci. Ainsi, si vous constatez un frottement ou encore un blocage lors de l’ouverture ou la fermeture, il est sage de diagnostiquer la source du problème et d’apporter de la solution adaptée. Profitez également de ce moment pour réparer les fixations de la fenêtre si celles-ci sont encrassées. Dans certain cas, vous devez combler l’ancien trou et de créer un nouveau.

Voilà, vous savez maintenant comment procéder pour rénover vos fenêtres en bois. Si vous ne sentez pas de taille pour l’opération, il est judicieux de faire appel à un expert en la matière afin d’éviter les mauvaises surprises.

poser une fenêtre en bois : les points à connaitre

Choisir une structure de chacune de vos fenêtres n’est pas une mince affaire, mais il y a encore plus pénible. En effet, outre le choix du matériau qui structure vos fenêtres, vous devez aussi bien réussir son installation, sans oublier la perfection des finitions. Dans cet article, on vous conseille sur les points à ne pas négliger sur la pose des fenêtres en bois.

La réalisation d’un diagnostic préalable

Comme tous les projets de construction ou de rénovation, l’installation d’une fenêtre en bois demande également la réalisation d’un diagnostic préalable pour ainsi réussir la pose. Pour ce diagnostic, il est très important de connaitre en détail l’état de la maison. Cela vous permet de simplifier le choix de la pose de vos fenêtres ainsi que le choix des vitrages. Si vous voulez installer des fenêtres en bois sur une nouvelle maison, il faut voir de près l’architecture du bâtiment en respectant les standards obligatoires de la réglementation thermique en vigueur RT 2012. Et pour une maison ancienne, le diagnostic technique est fortement recommandé surtout au niveau de la ventilation.

La pose complète d’une nouvelle fenêtre

Vos fenêtres sont de plus en plus vieilles et la meilleure décision à prendre reste la rénovation des menuiseries. Un remplacement complet de chacune de vos fenêtres demande l’intervention d’un professionnel qui est le seul apte à réaliser de tels travaux. Avec cette intervention, vous serez certain de disposer de fenêtre qui peut répondre à vos besoins tant sur le plan thermique que sur le plan acoustique. Soyez certain qu’un renouvellement de vos menuiseries n’atteint en rien à la pénétration de la lumière dans la maison si le modèle de la fenêtre que vous choisissez est le même que le précédent. Seulement, pour ce genre d’intervention, il vous faut un budget assez important à votre disposition. Mais le coût de la fenêtre dépend du modèle de menuiserie que vous voulez installer et la pose dépend aussi du type d’installation à réaliser.

Crédits d’impôts et aides, les possibilités

Lors de la pose de vos fenêtres en bois par une équipe professionnelle, il y a des questions techniques qui doivent être prises en compte. Pour cela, il faut demander un devis qui est la base même de tous les travaux à réaliser. C’est aussi à partir de ce devis qu’il est possible faire un point sur les diagnostics de la maison (s’il y a des points à revoir surtout sur l’isolation). Vu que la rénovation ou la pose en neuve de vos fenêtres touche en grande partie l’isolation de la maison, vous pouvez donc profiter des différentes aides de l’État comme le crédit d’impôt par exemple. Vous pouvez également bénéficier des primes d’énergie des aides de l’Anah ainsi que de l’Eco-PTZ. Pour obtenir de tels profits, il est quand même convenable de répondre à quelques critères précis comme le choix de l’intervention d’un professionnel ou encore le bon choix des vitrages qui est un point essentiel pour ce genre de travail.

Qu’est ce qu’un récepteur radio ?

Divers éléments contribuent au bon fonctionnement de votre système d’automatisme de portail, de porte de garage ou de volet roulant. Parmi ceux-ci figurent le récepteur radio.

Le récepteur radio, kézako tout d’abord ?

Le récepteur radio est un élément indispensable à votre système d’automatisme pour portail, porte de garage ou volet roulant. Celui-ci joue un rôle prépondérant dans le fonctionnement de votre portail, votre porte de garage ou encore vos volets roulants électriques.

Pour avoir une idée précise sur l’importance du récepteur radio, parlons tout d’abord du fonctionnement de portail, votre porte de garage ou volet roulant électrique. A chaque fois que vous appuyez sur un bouton de votre télécommande pour commander une action, celle-ci émettra un signal par ondes radio. Voilà pourquoi on désigne souvent la télécommande comme l’émetteur. Le récepteur radio a pour rôle de réceptionner le signal en question puis de le transmettre à l’électronique de gestion. Cette dernière quant à elle a comme mission de traiter, d’analyser et de traduire le signal pour enclencher l’action (fermeture ou ouverture). C’est ainsi que d’une simple pression sur votre télécommande, vous pouvez commander votre portail, votre porte de garage ou encore vos volets électriques.

Si votre récepteur radio est défectueux, c’est évident : votre système d’automatisme ne fonctionnera plus, et donc vous servira à rien. En effet, même en appuyant maintes fois sur votre télécommande, il vous sera impossible d’enclencher une action. Bonne nouvelle : vous n’avez pas à remplacer tout votre système d’automatisme lorsque votre récepteur radio est HS. Remplacez tout simplement le récepteur radio (bien entendu, avant d’incriminer celui-ci, vous devez vérifier le bon fonctionnement de votre télécommande).

Choix d’un nouveau récepteur radio : ce que vous devez retenir

Vous devez remplacer le récepteur radio de votre système d’automatisme ? Deux éléments méritent votre attention lors de l’achat. Tout d’abord, la fréquence du récepteur. A savoir que la fréquence du récepteur et celle de l’émetteur donc de la télécommande doivent être les mêmes. Autrement, les deux éléments ne peuvent pas communiquer entre eux et aucune action ne peut être enclenchée. Le deuxième élément à considérer est le mode d’apprentissage ou le système de codage. Comme pour la fréquence, sachez que l’émetteur et le récepteur radio doivent avoir le même mode d’apprentissage. Dans le cas où votre télécommande est à code fixe, préférez ainsi un récepteur radio à code fixe.

Concernant la marque, il est toujours conseillé de miser pour un récepteur radio de même marque que son système de motorisation. En effet, le but étant de prévenir le problème de compatibilité. Enfin, vous aurez le choix entre un récepteur radio filaire, sans fil, bi-canal, avec antenne, etc. Eh oui, diverses options s’offrent à vous. L’important c’est de choisir un modèle fiable et donc avec une longue durée de vie.

Puissance de votre motorisation de portail : 230 V ou 24 V ?

Motoriser votre portail vous garantit un gain de confort et de sécurité considérable. Vous n’avez plus à sortir de votre véhicule pour entrer et sortir le portail ne s’ouvre que grâce à une commande à distance dont vous êtes le seul possesseur. Mais pour bénéficier de tels privilèges, quel type de motorisation vous conviendrait-il ?

Motorisation différente pour chaque type de portail

Si vous voulez motoriser un portail à battants, il vous est donné deux options pour cela : la motorisation à vérin et la motorisation à bras. La puissance de ce type de motorisation est nécessaire pour mettre en œuvre des portails de poids considérable. Par contre, l’ouverture et la fermeture de votre porte seront lentes. D’ailleurs, il faut avoir un support assez solide pour fixer ce dispositif pour faire office de point d’appui pour l’effet bras de levier.

Outre la motorisation à vérin, il y a aussi la motorisation à bras. Ce type de motorisation a le mérite de permettre des ouvertures/fermetures relativement rapides du portail. Leur puissance peut varier selon les modèles, par contre, il est quelque peu encombrant.

Pour ce qui est de la motorisation d’un portail coulissant, rien de plus facile. Il s’agit d’un kit de moteur avec un système à crémaillère réglable à installer par vous-même ou pour plus de sûreté par un professionnel. Il faut juste garder en tête que pour les portails moyennement lourds et lourds, il faut privilégier les engrenages en métal.

Comment choisir la tension d’alimentation de votre motorisation ?

Pour faire fonctionner votre motorisation de portail, vous avez généralement le choix entre deux options : tension réseau de 230 V ou basse tension de 24 V. Ces deux modes d’alimentations ont leurs avantages et inconvénients respectifs. Cependant, dans certains cas de figure il est aussi possible de les trouver fonctionnant de concert pour une meilleure performance dans les motorisations à moteurs multiples.

Est-ce que la motorisation qui fonctionne sous 230V peut manœuvrer un portail de poids plus important que celle fonctionnant sous 24V ? NON, ce n’est pas ce qu’indiquent ces chiffres, il ne s’agit surtout pas de leur puissance.

C’est même relativement tout le contraire, la motorisation 24V a plus d’avantages parce que celui-ci chauffe moins et permet donc un nombre de fermetures/ouvertures plus conséquent. En plus, vous pouvez anticiper les coupures de courant en utilisant une batterie de secours qui peut se recharger grâce aux 230 V du réseau ou via un panneau solaire qui lui est dédié. C’est la motorisation idéale pour les lieux très fréquentés comme les locaux industriels. Ses points faibles sont le coût du matériel et la complexité relative de son installation.

En ce qui concerne le système fonctionnant sous 230 V, son point fort est son accessibilité à tous. C’est un système qui coûte moins cher et qui comporte moins d’équipements. Son installation est très facile et à la portée de tout bricoleur du dimanche. Le moteur de ce dispositif, a par contre tendance à chauffer. C’est pourquoi il est conseillé pour un usage moins intensif. En cas de coupure d’alimentation, le moteur ne fonctionnera pas alors il va falloir le débrayer manuellement à l’aide de la clé faite à cet effet et manœuvrer le portail manuellement aussi.

comment poser un portail alu

Élément incontournable pour toute maison, le portail participe pleinement à l’esthétique de celle-ci tout en contribuant à sa sécurisation. C’est bien sûr un passage obligatoire pour y pénétrer. Voilà pourquoi, il est important d’apporter un soin particulier allant de son choix jusqu’à sa pose. Pour certaines personnes, poser un portail alu présente un cassement de tête compliqué. Et pour d’autres, c’est une belle expérience à tenter. Que vous soyez un novice, un bricoleur en herbe ou un bricoleur du dimanche, pourquoi ne pas vous lancer dans le montage de votre portail ? Avec tous les bons outils en main et l’aide de ce petit guide de pose de portail alu, vous pouvez réussir avec succès.

Étape préliminaire : Préparation des outillages et des accessoires nécessaires

Lors de l’installation de votre portail par vous-même, il est important de respecter et de prendre en compte de toutes les modalités et normes de pose. Aussi, il est plus que nécessaire de disposer de tous les outils et équipements à utilisé pour la pose. En plus, du portail et de tous les accessoires qui vont avec. Pensez également à vous munir d’un niveau à bulle, d’un mètre, d’une clé à pipe, d’un marteau, d’une pince à dénuder, d’une pince coupante, d’un tournevis d’électricien et cruciforme, d’une visseuse, d’un perforateurs. Pour le scellement, vous aurez également besoin d’un sac de ciment, d’un sac de sable, d’une truelle.

Étape suivante : Préparation du terrain d’emplacement

Vous savez sans doute déjà que le bon fonctionnement ainsi que la longévité de votre portail dépendent avant tout de sa pose. Autrement dit, si la pose est bien solide, il n’y a pas de raison pour que votre portail ne fonctionne pas bien et pour longtemps. Assurez donc cette étape et vous verrez que vous n’aurez jamais à recourir à une manutention particulière. Ainsi, pour garantir une pose très solide, préparez avant tout les scellements. En effet, la préparation des scellements constitue la phase la plus importante qui garantit le succès ou non de l’installation de votre portail.

Ainsi, après avoir fait le métré exact de la position du portail par rapport au sol (avec une distance au sol de moins 5 cm). Mesurez également l’écartèlement entre les gonds. Grâce à cela, vous saurez la hauteur idéale pour le marquage des trous à l’intérieur des piliers. Pensez ensuite à creuser les trous de scellement de l’ordre de 5 m². N’oubliez pas de nettoyer les trous de la poussière et d’humidifier les cavités creusées.

Dernière étape : Mise en place des vantaux

À présent, il est temps de mettre en place les vantaux de votre portail. Pour procéder, assemblez ainsi les pentures au niveau des vantaux. Puis, fixez les gonds de scellement à travers les trous.

À l’aide des cales à placer entre les deux vantaux, vérifiez bien que la fermeture de votre portail soit établie au même niveau. Fixez ensuite les pentures en s’assurant bien que le vantail soit sur le même niveau que le sol. Après, fixez également les gonds. Une fois que le mortier est prêt, versez le dans les trous de scellement. Lissez ensuite avec la truelle. Attendez quelques jours pour que l’enduit sèche avant d’enlever les cales. Enfin, il ne vous reste plus qu’à assembler les vantaux et de les mettre en place.